Vladimir Poutine et Donald Trump ont convenu d’une trêve limitée aux infrastructures énergétiques. Cette pause de 30 jours ne constitue pas un cessez-le-feu général. Les deux dirigeants ont annoncé des négociations imminentes au Moyen-Orient. Ces discussions visent une réduction progressive des hostilités.
Les combats se poursuivent
Malgré cet accord, les affrontements continuent sur le terrain. Peu après leur appel, des explosions ont secoué Kiev. La Russie affirme avoir repoussé des incursions ukrainiennes en région de Belgorod. Moscou qualifie ces attaques de provocation militaire.
Un échange de prisonniers annoncé
Poutine a accepté d’échanger 175 prisonniers avec l’Ukraine. Cet accord reste limité, sans engagement plus large. Trump insiste sur un cessez-le-feu total à terme. Poutine conditionne la paix à l’arrêt de l’aide militaire occidentale à Kiev.
Les réactions européennes
Emmanuel Macron et Olaf Scholz refusent d’interrompre leur soutien à l’Ukraine. Macron rappelle la nécessité d’une solution incluant Kiev. Scholz estime qu’une trêve sur l’énergie peut ouvrir la voie à une paix durable.
Trump influe sur la stratégie américaine
Depuis son retour, Trump privilégie un rapprochement avec Moscou. Il a suspendu l’aide militaire à Kiev avant d’imposer cette trêve. Il exclut la Russie de toute responsabilité dans le conflit. Il envisage un partage territorial entre l’Ukraine et la Russie.
Vers un accord global ?
Washington espère un nouvel accord avec Moscou avant juin. Le FMI et des diplomates plaident pour une aide rapide à Kiev. Les discussions en cours détermineront la suite du conflit. Un cessez-le-feu total reste incertain.
