Des frappes américaines ont visé un port stratégique au Yémen.
Les rebelles houthis affirment que l’attaque a tué 80 personnes.
Ils dénoncent la frappe la plus meurtrière depuis 15 mois.
Nouvelles frappes sur la capitale
Les Houthis signalent de nouvelles frappes près de Sanaa, qu’ils attribuent aux États-Unis.
Ils accusent Washington de viser des zones civiles et des infrastructures vitales.
Objectif du port de Ras Issa
L’armée américaine dit avoir détruit le port de Ras Issa.
Elle affirme avoir voulu priver les Houthis d’une ressource pétrolière stratégique.
Selon Centcom, ces revenus finançaient des actions terroristes régionales.
Bilan humain et dégâts
Les Houthis annoncent 80 morts et 150 blessés après la frappe.
Ils accusent les États-Unis d’aggraver les souffrances du peuple yéménite.
Des images diffusées montrent des blessés et des destructions importantes.
Riposte houthiste
Le porte-parole militaire houthi annonce des tirs de missiles contre Israël.
Il affirme avoir visé deux porte-avions américains au large du Yémen.
Il promet une intensification des attaques si les frappes continuent.
Manifestations massives
Des milliers de personnes ont défilé à Sanaa et Saada.
Elles ont scandé des slogans hostiles aux États-Unis et à Israël.
Les Houthis réaffirment leur soutien aux Palestiniens de Gaza.
Le rôle de l’Iran
Les Houthis font partie de « l’axe de la résistance » soutenu par l’Iran.
Téhéran dénonce les frappes américaines comme des actes « barbares ».
Les tensions augmentent à la veille de discussions sur le nucléaire iranien.
Sanctions économiques américaines
Les États-Unis ont sanctionné une banque yéménite liée aux Houthis.
Ils la jugent essentielle au financement des insurgés.
Conflit maritime en mer Rouge
Depuis octobre 2023, les Houthis ciblent Israël et des navires marchands.
Ils justifient ces attaques par leur solidarité avec Gaza.
Les frappes américaines visent à rétablir la sécurité maritime.
Une coalition navale internationale tente de contenir les attaques.
Message adressé à l’Iran
Des analystes voient un avertissement clair envoyé à Téhéran.
Washington cible désormais aussi l’économie des Houthis, pas seulement leur armement.
