Une tragédie financière en pleine pandémie

Les autorités ont débloqué des milliards pour lutter contre le Covid-19.
Mais des détournements massifs ont vite éclaté au grand jour.
Les rapports officiels dénoncent des dépenses absurdes et injustifiées.

Développement communautaire : 399 millions envolés

Le ministère a déboursé 399 millions sans caisse d’avance.
La Cour des comptes a relevé cette irrégularité choquante.
Cette somme semble s’être volatilisée sans trace ni justification.

Urbanisme : fleurs et cocktails au lieu de soins

Le ministère de l’Urbanisme a dépensé 240 millions pour des bacs à fleurs.
Il a ensuite organisé un cocktail à 40 millions pour célébrer une convention.
Ces dépenses indécentes ont choqué une population en crise sanitaire.

Sports : du cash sans contrôle

La Fédération sénégalaise de basketball a versé 50 millions à un haut fonctionnaire.
Ce dernier devait redistribuer l’argent à des associations sportives.
Mais 140 millions restent introuvables, sans justification ni preuve d’utilisation.

Une corruption généralisée

Ce scandale dépasse les ministères et touche aussi artistes et sportifs.
L’argent circule sans contrôle ni audit sérieux.
La corruption gangrène toutes les sphères de l’administration sénégalaise.

Un fléau continental

La corruption en Afrique coûte 148 milliards de dollars par an.
Ce chiffre représente 25 % du PIB africain, selon l’ONU.
Au Sénégal, des pots-de-vin ont atteint 118 milliards en une seule année.

Une trahison des peuples

Ces détournements privent les citoyens d’écoles, d’hôpitaux et d’infrastructures.
La corruption tue l’espoir et bloque le développement.
Comme l’a dit Chinua Achebe : le problème, ce sont les dirigeants.

Une urgence morale

Avant de blâmer l’étranger, regardons nos propres responsabilités.
Le mal vient de l’intérieur, de nos élites prédatrices.
Tant que la corruption domine, le progrès restera un rêve lointain.

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