Le Ghana fait face à sa pire épidémie de mpox depuis 2022.
En mai 2025, 45 cas confirmés ont été signalés par les autorités sanitaires.
Ces cas se sont déclarés dans plusieurs régions du pays, selon le dernier rapport officiel.
Le virus provoque fièvre, douleurs intenses et éruptions cutanées visibles.
Malgré l’ampleur de la flambée, aucun décès n’a été signalé à ce jour.
Les autorités assurent avoir rapidement déployé des moyens de réponse.

Une réponse sanitaire structurée

Le service de santé a lancé un plan national de lutte contre le virus mpox.
Les agents ont commencé à identifier, isoler et traiter tous les cas confirmés.
Ils mènent un traçage rigoureux des cas-contacts dans les zones à risque.
Ils ont également vacciné les professionnels de santé les plus exposés.
En parallèle, ils mènent une vaste campagne de sensibilisation dans les médias.
Ces mesures visent à freiner la propagation communautaire du virus.

Une souche moins virulente mais toujours contagieuse

Les autorités ont précisé que le virus appartient au clade 2, moins dangereux.
Ce variant est moins létal que celui qui circule en Afrique centrale.
Néanmoins, il reste très contagieux, principalement par contact direct avec la peau.
Le gouvernement exhorte la population à consulter dès l’apparition des premiers symptômes.
Il déconseille les déplacements en cas de doute ou de signes cliniques suspects.

Une situation suivie de près

Le Ghana avait recensé 120 cas de mpox en 2022, avec quatre décès.
Le ministère de la Santé prévoit une hausse des cas dans les prochains jours.
Il préfère attendre avant de publier de nouvelles projections chiffrées.
Les autorités sanitaires restent mobilisées pour contenir l’épidémie au plus vite.

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