Contexte
La 3e Conférence des Nations unies sur l’océan s’est ouverte lundi à Nice, avec plus de 120 délégations internationales, autour d’un objectif central : enrayer la dégradation des écosystèmes marins.
Un appel fort de l’Afrique
Les États africains, parmi les plus touchés, ont lancé un appel pressant :
- Restauration ambitieuse des fonds marins
- Réduction des impacts du réchauffement, de la pollution plastique et de la surexploitation
- Mise en œuvre de l’objectif 30×30 : protéger 30 % des zones marines d’ici 2030
Pourquoi l’Afrique est en première ligne
- 47 000 km de littoral
- 39 pays côtiers
- Menaces majeures :
- Érosion côtière
- Acidification des océans
- Perte d’habitats marins
Les priorités africaines à Nice
- Renforcer la coopération scientifique régionale
- Promouvoir une gouvernance océanique inclusive
- Obtenir des financements à grande échelle
Enjeux globaux
Pour les délégations africaines, cette conférence marque un tournant stratégique :
« Remettre les océans au centre du développement durable et des politiques climatiques. »