L’UNSAS s’oppose fermement aux déclarations du ministre Olivier Boucal.
Elle l’exhorte à renouer rapidement le dialogue avec les syndicats de la justice.
Elle juge inacceptables ses propos concernant la grève en cours dans le secteur judiciaire.
Une grève mal interprétée par le gouvernement
Le ministre a qualifié cette grève de « chantage », lors d’une récente sortie médiatique.
Il a ajouté que cette mobilisation niait le pacte de stabilité signé avec l’État.
L’UNSAS a dénoncé ces propos, jugés méprisants envers les travailleurs grévistes.
Le droit de grève défendu par l’UNSAS
L’UNSAS rappelle que le pacte ne peut annuler le droit fondamental de grève.
Elle affirme que les syndicats restent légitimes à agir sans réponse satisfaisante.
Elle demande au ministre de relancer sans délai les discussions avec le SYTJUST et l’UNTJ.
Une alerte sur la situation du SAES
L’UNSAS soutient également les revendications du SAES.
Elle demande l’application immédiate du décret 2020-398 du 23 septembre 2020.
Ce texte prévoit une allocation spéciale pour les enseignants-chercheurs titulaires.
Elle exige aussi le versement des pensions de réversion aux ayants droit.
La crise de La Poste inquiète l’UNSAS
L’UNSAS reste préoccupée par la crise persistante à La Poste sénégalaise.
Elle dénonce le retard accusé dans la restructuration du groupe.
Elle affirme que ce retard plonge les travailleurs dans une grande détresse.
L’organisation syndicale appelle le gouvernement à agir avec diligence.
L’UNSAS menace de passer à l’action
Face à l’inaction, l’UNSAS envisage de nouvelles actions syndicales.
Elle affirme se réserver le droit d’agir selon l’évolution de la situation.
Elle attend des réponses concrètes du gouvernement dans les plus brefs délais.
