Plus de 20 pays se sont réunis à Bogota les 17 et 18 janvier 2024.
Ils ont dénoncé les violations du droit international par Israël à Gaza et en Cisjordanie.
Le sommet visait à proposer des mesures diplomatiques et juridiques contre ces exactions.
Les participants ont affirmé leur engagement à défendre le droit international humanitaire.

Le Groupe de La Haye mène l’initiative

Huit pays ont lancé le Groupe de La Haye en janvier 2024 aux Pays-Bas.
Ce groupe comprend la Colombie, le Sénégal, Cuba, la Malaisie, la Namibie, entre autres.
Ils veulent responsabiliser Israël pour ses actions dans les territoires palestiniens.
Le sommet à Bogota marque leur première mobilisation d’envergure.

Une mobilisation internationale grandissante

Des délégations de pays comme le Brésil, la Türkiye et l’Indonésie ont répondu présent.
Le Liban, l’Algérie, le Portugal et le Chili ont aussi pris part aux discussions.
Des représentants palestiniens ont assisté aux débats, soutenus par plusieurs États solidaires.
Cette initiative fait écho à d’autres forums internationaux dénonçant les abus israéliens.

Des sanctions ciblées contre Israël

Certains pays ont signé un accord pour interdire les exportations militaires vers Israël.
Ils bloqueront également le transit et l’entretien de navires militaires à destination d’Israël.
Ces restrictions concernent armes, carburants et équipements liés aux opérations militaires.
Les États signataires veulent freiner l’escalade en coupant les soutiens logistiques.

Un tournant diplomatique face à l’impunité

Cette démarche marque une rupture avec la passivité habituelle sur ce conflit.
Elle renforce les pressions diplomatiques et appelle au respect du droit international.
Les signataires appellent d’autres nations à rejoindre cette mobilisation croissante.
Ils espèrent faire évoluer la situation sur le terrain par des moyens légaux et pacifiques.

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