La police a arrêté trois individus le 15 juillet 2025 vers 16 heures.
L’opération s’est déroulée aux Parcelles Assainies, unité 15, après une plainte pour chantage sexuel.
La victime, une jeune femme, a signalé des menaces et la diffusion d’images intimes.
La police a confirmé l’information via un post publié sur sa page Facebook officielle.

Une menace venue par message

Tout a commencé le 6 juillet 2025 avec un message suspect reçu par la mère.
Un inconnu a demandé la localisation de sa fille via un message ambigu.
La jeune femme a pris le téléphone et a répondu par : « C’est qui ? »
L’expéditeur a alors menacé d’envoyer une sextape au mari de la victime.
Il a exigé une vidéo sexuelle pour éviter la diffusion de celle qu’il détenait.

Un chantage brutal et une vidéo diffusée

La victime a immédiatement rendu le téléphone à sa mère, totalement choquée.
Peu après, une sextape la concernant a été envoyée sur le même appareil.
Le maître-chanteur a exigé un rapport sexuel ou le paiement de 60 000 FCFA.
Le soir même, le mari a aussi reçu la vidéo sur son propre téléphone.
Il a ensuite décidé de la répudier, bouleversant ainsi la vie de la victime.

Une enquête rapide et trois interpellations

La police a lancé une enquête dès réception de la plainte.
Les réquisitions téléphoniques ont permis d’identifier le premier suspect.
Ce dernier a reconnu avoir envoyé les messages et exploité la vidéo reçue.
Il a déclaré avoir reçu la vidéo d’un deuxième individu, rapidement arrêté.
Ce second suspect a avoué avoir récupéré la vidéo via un téléphone tiers.
La troisième personne arrêtée a reconnu avoir reçu la vidéo sur WhatsApp.
Elle l’a visionnée en mode “vu unique” avant de la transmettre.

L’enquête se poursuit

Les trois suspects ont été placés en garde à vue par les enquêteurs.
La police cherche encore à identifier l’auteur initial de la vidéo.
L’enquête reste ouverte pour retrouver d’éventuels complices ou instigateurs.
L’affaire met en lumière les dangers du chantage sexuel en ligne.
La police rappelle l’importance de signaler rapidement tout acte de cyberharcèlement.

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