Huit ans après sa création, Africa50 a changé d’échelle.
Passée d’un seul employé à 100 personnes, elle gère aujourd’hui 1,4 milliard de dollars d’actifs.
Son portefeuille atteint désormais 8 milliards de dollars.

Une initiative africaine crédible et autonome

Cette croissance illustre une réussite africaine dans la mobilisation de capitaux.
Africa50 réduit sa dépendance aux financements extérieurs.
Elle s’impose comme un acteur majeur des projets d’énergie, de transport et de technologies.

Un modèle salué par Akinwumi Adesina

Pour Akinwumi Adesina, président de la BAD, le succès dépasse les chiffres.
Il prouve qu’un modèle africain peut concevoir et financer des projets structurants.
Africa50 incarne l’efficacité et la crédibilité dans la mobilisation de ressources locales et internationales.

Un déficit à combler

L’Afrique a besoin de 170 milliards de dollars par an pour ses infrastructures.
Adesina appelle à multiplier les partenariats panafricains et internationaux.
L’objectif est de renforcer l’intégration économique et la souveraineté continentale.

Un catalyseur pour le développement africain

Africa50 se positionne comme catalyseur du développement continental.
Elle transforme la promesse d’infrastructures modernes en moteur de croissance.
Elle contribue aussi à la cohésion et à l’intégration régionale.

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