Coup d’État et continuité au pouvoir
Le 18 août 2020, les militaires renversent le président Ibrahim Boubacar Keïta, IBK.
Ils imposent ensuite Bah N’Daw, avant de le destituer lors d’un second coup d’État.
Cinq ans plus tard, les militaires restent aux commandes, sans élection à l’horizon.

Lutte contre les jihadistes et partenariat russe
Les militaires visent le contrôle du nord et l’éradication des jihadistes.
Le Mali rompt avec Paris et place la Russie comme partenaire stratégique.
Le groupe Wagner déploie des mercenaires pour soutenir l’armée malienne.
Ils remportent une victoire : les rebelles sont chassés de Kidal.
Pourtant, de nombreuses zones restent sous contrôle jihadiste.
Plus d’une centaine de civils demeurent otages dans le centre du Mali.
Les mercenaires russes n’ont pas totalement vaincu les jihadistes.

Promesses non tenues et situation préoccupante
Le CNSP promettait une transition de 18 mois et un « Mali kura ».
Alioune Tine estime que les promesses d’amélioration restent lettre morte.
Selon lui, la situation se dégrade sur tous les fronts.
Les droits humains et la sécurité des civils demeurent fortement menacés.

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