Le Département d’État américain a publié son rapport annuel ce 20 août 2024.
Le résumé débute en soulignant des changements positifs au Sénégal.
Il mentionne des avancées notables dans la situation des droits de l’homme.
Une élection présidentielle jugée transparente
Le rapport revient sur l’élection présidentielle de mars 2024.
Il la décrit comme juste et largement exempte d’irrégularités.
Les observateurs internationaux ont confirmé la transparence du scrutin.
La libération des prisonniers politiques
À la fin de l’année, une décision majeure a été constatée.
Les autorités sénégalaises ont libéré tous les prisonniers politiques.
Cette mesure a été relevée comme un signal fort par les observateurs.
Des violations toujours préoccupantes
Malgré ces avancées, plusieurs abus ont été signalés.
Le rapport cite des traitements cruels, inhumains ou dégradants.
Il mentionne aussi des arrestations et détentions arbitraires.
La liberté d’expression et celle des médias ont subi des restrictions.
Réponse des autorités face aux abus
Les autorités ont entrepris des mesures pour punir certains responsables.
Elles ont cherché à identifier les auteurs de violations des droits humains.
Cependant, l’impunité a persisté dans plusieurs cas documentés.
Casamance : un conflit de basse intensité
Le rapport évoque également la situation en Casamance.
Cette région est située entre la Gambie et la Guinée-Bissau.
Une insurrection de faible intensité s’y est poursuivie en 2024.
Elle opposait forces de sécurité et groupes séparatistes armés.
Toutefois, les violences signalées cette année-là restaient rares.
