La FIFA a tenu mardi une réunion importante à son siège.
L’ordre du jour portait sur l’extension du Mondial-2030 à 64 équipes.
Gianni Infantino, président de la FIFA, a dirigé les discussions.
Il a reçu plusieurs délégations sud-américaines dans les bureaux new-yorkais de la FIFA.
La rencontre s’est déroulée dans la Trump Tower, à Manhattan.
Des chefs d’État impliqués
Selon The Athletic, Infantino a rencontré Santiago Pena, président du Paraguay.
Il a aussi échangé avec Yamandu Orsi, président de l’Uruguay.
Ces responsables veulent concrétiser une proposition présentée en mars 2025.
L’Argentine soutient également cette initiative d’élargissement.
Les deux camps semblent désormais proches d’un accord final.
Une Coupe du monde historique
La FIFA a déjà prévu un hommage particulier pour l’édition 2030.
Trois matches se joueront en Amérique du Sud, berceau de la première édition.
Le reste de la compétition se déroulera en Espagne, au Portugal et au Maroc.
Ce choix marque une première dans l’histoire du tournoi.
Jamais une Coupe du monde n’avait été organisée sur trois continents à la fois.
Les arguments sud-américains
Alejandro Dominguez, président de la Confédération sud-américaine, a publié une vidéo.
Il y défend l’idée d’une extension exceptionnelle du tournoi.
Selon lui, le centenaire mérite un format hors du commun.
« Cet événement n’est pas une Coupe ordinaire », insiste-t-il dans son message.
Il ajoute que cette chance n’apparaît qu’une fois tous les cent ans.
La position d’Infantino
Gianni Infantino partage ce point de vue avec enthousiasme.
Il estime que la FIFA doit proposer un spectacle inoubliable.
Selon lui, le monde mérite une compétition unique et mémorable.
« Ensemble, nous réaliserons quelque chose d’inoubliable », déclare le président.
Il confirme ainsi la convergence entre la FIFA et les dirigeants sud-américains.
