De jeunes Bissau-Guinéens ont marché à Ziguinchor.
Ils ont emprunté l’axe reliant le rond-point Aline Sitoé Diatta au consulat de Guinée-Bissau.
et ont exprimé leur inquiétude pour leur avenir.
Ils ont dénoncé le coup d’État survenu dans leur pays.
Cette mobilisation a réclamé un retour rapide à l’ordre constitutionnel.
Les marcheurs ont aussi exigé la poursuite du processus électoral.
Ils ont demandé la publication transparente des résultats issus des urnes.
Cette revendication a dominé toute la marche.
Un message adressé au Sénégal
Le porte-parole Nuno Dasylva a salué le Sénégal.
Il a remercié le Premier ministre Ousmane Sonko pour sa position jugée claire.
Il a affirmé que cette position soutient la stabilité au Sénégal et en Afrique.
M. Sylva a réaffirmé son rejet du coup d’État.
Il a qualifié l’événement de « faux coup d’État », selon ses propres mots.
Il a affirmé que ses camarades partageaient cette analyse.
Cette déclaration a suivi la marche, devant le consulat.
Une exigence : respecter les résultats
Les résidents bissau-guinéens de Ziguinchor ont maintenu leur demande.
Ils ont insisté sur le respect strict de l’ordre constitutionnel.
Ils ont rappelé que seule la publication des résultats garantit la légalité.
Nuno Dasylva a souligné l’importance de cette étape.
Il a déclaré que l’annonce des résultats reste essentielle pour leur pays.
Un appel à la communauté internationale
Les marcheurs ont interpellé la communauté internationale.
Ils ont demandé une réaction ferme de la CEDEAO.
Ils ont évoqué l’exemple de l’intervention en Gambie.
Les jeunes ont rappelé que les militaires possèdent une force réelle.
Ils ont toutefois affirmé que la CEDEAO reste plus puissante et ont réclamé une action rapide pour protéger la démocratie.

