L’affaire Kocc Barma connaît un nouveau développement judiciaire.
Après les administrateurs, la police cible désormais les fournisseurs de contenus.

La DSC élargit le champ des poursuites

La Division spéciale de cybersécurité change de stratégie.
Elle vise désormais les auteurs de transmissions illicites.

Une arrestation révélatrice sur la Corniche

Dans son édition du samedi 13 décembre, Libération annonce une arrestation.
Les enquêteurs interpellent E. D. Seck, âgé de 35 ans.
Ils le présentent comme le premier complice présumé arrêté.

Une transmission destinée à nuire

Les enquêteurs l’arrêtent dans un restaurant de la Corniche Ouest.
Ils l’accusent d’avoir transmis une sextape compromettante.
Il aurait agi pour nuire gravement à son ex-compagne.

Des preuves numériques déterminantes

Le suspect nie d’abord toute implication.
Cependant, les enquêteurs découvrent la vidéo sur son téléphone.
Ainsi, les preuves numériques confirment les accusations.

Une opération bien plus vaste

Selon Libération, cette arrestation révèle une opération d’envergure.
Les enquêteurs prennent le contrôle d’une adresse mail stratégique.
Le réseau utilisait cette adresse pour collecter des contenus illicites.

Des sites identifiés par la police

Cette saisie marque une avancée décisive.
Elle révèle toutes les adresses contributrices au réseau.
Babiporno, Boydakar et Seneporno figurent parmi les sites concernés.

Inculpation et poursuite des investigations

Le parquet présente E. D. Seck au Doyen des juges.
Le magistrat l’inculpe et le place sous contrôle judiciaire.
Toutefois, l’enquête se poursuit activement.

De nouvelles arrestations attendues

Le juge délivre une délégation judiciaire à la DSC.
Les enquêteurs travaillent dans la plus grande discrétion.
Ils cherchent à identifier tous les correspondants impliqués.
Selon Libération, de nouvelles arrestations sont imminentes.

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