Le ministère de la Justice a publié un communiqué officiel.
Il répond aux propos de l’ambassadrice française à Dakar.
Ainsi, il clarifie la position du Sénégal sur les extraditions.
Le principe de réciprocité rappelé
Le ministère rappelle le principe fondamental de réciprocité.
Ainsi, le Sénégal agit dans le cadre des accords bilatéraux.
Par conséquent, aucune décision ne viole le droit international.
Les propos de l’ambassadrice en cause
Christine Fages s’est dite surprise par la suspension annoncée.
Elle a invoqué l’indépendance de la justice française.
Cependant, Dakar rejette toute idée de pression judiciaire.
Une mise au point du gouvernement sénégalais
Le ministère précise exercer un droit souverain légitime.
Il exclut toute volonté d’influencer la justice française.
Ainsi, il dénonce certaines interprétations jugées excessives.
Des échanges judiciaires toujours en cours
La justice française a demandé des informations déjà transmises.
Néanmoins, Dakar accepte de les communiquer à nouveau.
Cette démarche respecte les accords de coopération judiciaire.
Une critique sur la gravité des faits
Le ministère critique la position de l’ambassadrice.
Il estime qu’elle relativise des faits graves reprochés.
Ces faits concernent corruption et détournement de fonds publics.
Une position jugée regrettable
Selon le ministère, cette posture ressemble à un jugement de valeur.
Elle pourrait aussi être perçue comme une ingérence.
Ainsi, Dakar exprime sa vive préoccupation.
Un engagement réaffirmé
Le communiqué réaffirme le respect des engagements internationaux.
Il insiste sur la transparence et la bonne gouvernance.
Enfin, le Sénégal assume pleinement ses choix judiciaires.

