Abdou Karim Fofana semble soutenir l’idée selon laquelle le dialogue est crucial, quelles que soient nos différences politiques. Pour le porte-parole du gouvernement, c’est le moyen privilégié pour débattre et parvenir à un consensus sur des questions telles que la date des élections présidentielles, les modalités de gestion après le 2 avril et les modalités de participation inclusive. Lors d’une réunion internationale, ce responsable politique a loué l’approche du président, soulignant que celui-ci aurait pu imposer une date à tous, mais a préféré privilégier le dialogue, un mécanisme profondément ancré dans la démocratie sénégalaise.
Les discussions seront officiellement lancées ce lundi à 16h00, bien que 16 des 19 candidats ne semblent pas y assister. « Ceux qui ont décidé de ne pas participer au dialogue devraient y être présents et exprimer leurs opinions. À mon avis, c’est la manière la plus intelligente de procéder, plutôt que de choisir de boycotter », a déclaré le ministre, porte-parole du gouvernement.
