Le 1er juillet, la Cour suprême a rejeté le recours en rabat d’arrêt introduit par les avocats de Ousmane Sonko. La décision a provoqué colère et incompréhension dans son camp.

Un recours fondé sur une « erreur de procédure »

Les conseils de Sonko ont invoqué une erreur de procédure.
Ils contestaient la précédente décision de la Cour suprême.
Mais la juridiction a estimé que l’argument visait à obtenir un nouveau jugement.

Les quatre griefs soulevés

Les avocats avaient présenté quatre griefs principaux :

  • le rejet hors délai d’une exception d’inconstitutionnalité de l’article 260 du Code pénal ;
  • l’absence de renvoi obligatoire devant une autre juridiction après la cassation ;
  • une prétendue dénaturation de l’acte d’assignation à prévenu ;
  • l’ajout d’une mention sur l’exécution de l’arrêt non prévue par la loi.

La décision finale de la Cour

Après examen, la Cour a rejeté ces arguments.
Elle a considéré qu’ils ne démontraient pas une véritable erreur de procédure.
La haute juridiction a donc confirmé sa logique et rejeté le recours.

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