Amadou Hott, candidat à la présidence de la BAD, estime que la réduction de la prime de risque africaine est essentielle pour le développement du continent. Il dénonce des coûts d’emprunt jusqu’à huit fois supérieurs à ceux des pays développés et soutient la création d’une agence de notation africaine pour mieux évaluer les économies du continent.
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