Seydi Gassama affirme qu’il est inacceptable que des documents publics soient traités comme des biens personnels. Lors d’une conférence de presse le jeudi 2 mai 2024, le défenseur des droits de l’homme a appelé les nouvelles autorités à ne pas laisser ces rapports finir oubliés dans les tiroirs une fois publiés.
Selon le secrétaire exécutif d’Amnesty Sénégal, il revient au procureur de prendre les mesures nécessaires après la publication de ces rapports. S’il y a lieu de poursuivre, alors les responsables doivent être traduits en justice. Il insiste sur l’importance pour le procureur de mener son travail sans aucune interférence de la part de l’État.