Michelle et Barack Obama ont marqué la convention démocrate en exprimant leur soutien fervent à Kamala Harris, saluant son potentiel à restaurer l’espoir et promettre un avenir radieux pour les États-Unis. L’enthousiasme autour de la vice-présidente reflète une campagne électorale vibrante et déterminée.

La convention démocrate a été le théâtre d’un moment fort ce mardi, lorsque Michelle et Barack Obama ont offert un soutien retentissant à Kamala Harris, récemment investie comme candidate présidentielle. Dans une ambiance électrique à Milwaukee, l’ex-première dame a ouvert les festivités en soulignant que « l’espoir est de retour » avec Harris, tandis que son mari, l’ancien président Barack Obama, a insisté sur le fait que « nous sommes prêts pour la présidente Kamala Harris. »

Le slogan emblématique « Yes, she can ! » a résonné dans la salle, en écho à l’ancien slogan de Barack Obama, galvanisant les délégués et les partisans. Michelle Obama, avec sa présence charismatique, a suscité des acclamations enthousiastes, tandis que Barack Obama a critiqué l’ancien président Donald Trump, qualifié de « milliardaire de 78 ans » en proie à la peur de perdre.

La cérémonie, animée par une musique entraînante et des spectacles festifs, a vu Kamala Harris promettre un « avenir de liberté, de possibilités, d’optimisme et de foi. » Cet événement marquait symboliquement le début de sa campagne présidentielle, après une période mouvementée pour le parti démocrate. La vice-présidente a reçu un soutien massif des délégations étatiques, qui ont apporté leur appui avec des chants et des pancartes colorées, transformant la convention en une véritable kermesse politique.

Le mari de Kamala Harris, Doug Emhoff, a contribué à ce moment émotionnel en offrant un portrait personnel de la vice-présidente, la qualifiant de « joyeuse guerrière » et partageant des anecdotes touchantes sur leur vie ensemble.

Pendant ce temps, l’ancienne porte-parole de Donald Trump, Stephanie Grisham, a mis en garde contre le candidat républicain, critiquant son manque d’empathie et d’éthique. Donald Trump a poursuivi sa campagne en attaquant Kamala Harris sur des questions de criminalité, malgré les données montrant une baisse des crimes violents aux États-Unis depuis 2020.

Kamala Harris, ayant pris le relais après le retrait inattendu de Joe Biden, a redynamisé le parti démocrate. Les sondages récents indiquent qu’elle a pris une légère avance sur Trump, bien que la course demeure serrée à moins de trois mois des élections. La convention a ainsi marqué le début d’une campagne prometteuse pour Harris, galvanisée par le soutien de poids des Obama et une base enthousiaste prête à faire entendre sa voix aux urnes.

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