Barthélémy Dias sort enfin de sa réserve.
Il choisit de dénoncer la gestion actuelle de la crise universitaire.
Il affirme que la situation dans l’enseignement supérieur devient alarmante.
M. Dias rappelle que les étudiants vivent une tension croissante.
Cette tension alimente selon lui un profond malaise national.
Une critique sévère de l’État
Le leader de Sénégal bi nu bokk attaque la gestion des bourses.
Il juge l’État incapable de résoudre cette question essentielle.
Il estime qu’un État doit payer ses bourses sans retard.
M. Dias considère cette incapacité comme une grave faillite politique.
Cette critique vise directement les autorités responsables du dossier.
Une invitation adressée aux étudiants
M. Dias publie un message vidéo pour les étudiants.
Il les invite à dialoguer avec les autorités concernées.
et encourage toutefois la poursuite d’un combat responsable.
Il les pousse à défendre leurs principes avec détermination.
M. Dias qualifie ces principes de valeurs « nobles » et légitimes.
Cette position cherche à équilibrer fermeté et ouverture.
Une critique du prix de l’arachide
Barthlemy Dias attaque ensuite la politique arachidière du gouvernement.
Il juge le prix plancher de 305 francs CFA inacceptable et estime que ce prix montre un manque de respect profond envers les paysans.
Il affirme que les producteurs méritent une rémunération plus juste.
M. Dias rappelle que des acheteurs chinois proposaient entre 700 et 1 000 francs.
Selon lui, les paysans perdaient alors un revenu précieux.
Il déplore une politique qui pénalise les producteurs sénégalais.
Un appel à une révision urgente
Barthelemy Dias demande à l’État de revoir sa position.
Il qualifie la politique actuelle d’« autre forme d’esclavage ».
Il appelle à une réforme urgente pour protéger les paysans et souhaite une approche plus responsable et plus respectueuse.
M. Dias insiste sur l’importance d’une décision rapide.
Cette demande conclut son intervention avec force et gravité.
