Un bilan humain catastrophique
Le séisme en Birmanie a causé plus de 2 700 morts et 4 500 blessés. Ce bilan devrait encore s’alourdir.
Une guerre qui ne connaît pas de trêve
Malgré la catastrophe, l’armée birmane poursuit ses frappes aériennes contre les groupes rebelles. Ces attaques touchent les zones frontalières avec la Thaïlande, où la résistance est forte.
Un appel international ignoré
Le chef de la junte, Min Aung Hlaing, a refusé tout cessez-le-feu, selon Myanmar Now. Pourtant, plusieurs groupes armés ont temporairement suspendu les combats pour gérer l’urgence humanitaire.
Des bombardements en pleine crise humanitaire
Les médias indépendants signalent que l’armée régulière continue ses bombardements et tirs d’artillerie. L’ONU exhorte la junte à cesser ses attaques et à protéger les civils.
Une aide humanitaire sous méfiance
Dès le premier jour, le gouvernement militaire a sollicité l’aide internationale, un fait inhabituel. L’opposition craint cependant que cette aide soit instrumentalisée à des fins politiques.
Une population à bout
Les habitants vivent déjà sans électricité ni communication, à cause du conflit avec les militaires. Le séisme aggrave leur détresse et complique les opérations de sauvetage.
Une situation critique selon l’Union européenne
Michelle Cecic, responsable humanitaire de l’UE, alerte sur l’extrême vulnérabilité des sinistrés. Elle souligne l’urgence d’une réponse humanitaire rapide et efficace.
