Samuel Sarr, ancien directeur général de West African Energy (WAE), est en détention depuis le 28 novembre 2024. Il est accusé d’abus de biens sociaux portant sur 8,7 milliards de francs CFA. Cette accusation fait suite à une plainte de Moustapha Ndiaye, actionnaire de WAE.
Rejet des demandes de liberté provisoire
Le juge d’instruction a rejeté sa première demande de mise en liberté provisoire début février. Le magistrat craint que Samuel Sarr ne prenne la fuite ou n’interfère avec l’enquête. Il redoute également une possible concertation avec des tiers impliqués.
Maintien en détention confirmé
La Chambre d’accusation a confirmé le refus de mise en liberté provisoire. Les avocats de Samuel Sarr ont contesté cette décision. Ils ont introduit une nouvelle requête devant la Chambre d’accusation le 25 février.
Perspectives à venir
La défense espère obtenir la libération provisoire de leur client. Cependant, la justice maintient sa position en raison des risques évoqués. L’affaire suit son cours, avec une confrontation prévue entre experts.
En résumé, Samuel Sarr demeure en détention, malgré les tentatives de sa défense. Les autorités judiciaires restent vigilantes quant aux risques potentiels liés à sa libération.