L’Iran a inculpé Cécile Kohler et Jacques Paris pour espionnage.
Ils sont accusés de travailler pour le Mossad, les services israéliens.
Les autorités leur reprochent aussi un complot contre le régime iranien.
Elles les accusent enfin de « corruption sur terre », un crime religieux majeur.
Chacun de ces chefs est passible de la peine de mort en Iran.Une annonce qui suit une visite consulaire

Cette inculpation survient après une récente visite consulaire.
La France avait obtenu l’autorisation de rencontrer ses deux ressortissants.
Le chargé de mission français les a vus à Téhéran fin juin.
Cette visite a suivi un bombardement de la prison d’Evin.
L’attaque avait provoqué une vive réaction de la France.

Conditions de détention jugées inhumaines

Jean-Noël Barrot a dénoncé des conditions de détention assimilables à de la torture.
Le ministre français des Affaires étrangères a exprimé sa profonde inquiétude.
Il a rappelé que Paris exerce une pression constante sur l’Iran.
La France réclame des conditions dignes pour ses deux citoyens détenus.
Elle continue d’exiger leur libération immédiate et sans conditions.

La diplomatie française se mobilise

Emmanuel Macron a interpellé plusieurs fois son homologue iranien.
Le président français demande la libération des deux prisonniers français.
Paris dénonce une stratégie d’« otages d’État » menée par l’Iran.
Le gouvernement accuse Téhéran de chantage diplomatique permanent.
La France juge cette situation incompatible avec le droit international.

Une accusation désormais précisée

L’Iran n’avait pas encore précisé l’origine supposée de l’espionnage.
Cette fois, les autorités affirment un lien avec le Mossad israélien.
Cette précision change la portée des accusations portées contre les deux Français.
Elle complique davantage les efforts diplomatiques pour leur libération.
La France continue d’exiger leur retour immédiat sur son sol.

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