Donald Trump impose 30 % de droits de douane au Mexique et à l’Union européenne.
Il annonce cette décision dans des lettres publiées sur sa plateforme Truth Social.
Il accuse le Mexique d’acheminer de la drogue vers les États-Unis.
Le Président Trump critique aussi le déséquilibre commercial avec l’Union européenne.

L’UE et le Mexique réagissent vivement

La présidente de la Commission européenne condamne cette initiative.
Elle déplore l’impact sur les chaînes d’approvisionnement transatlantiques.
Ursula von der Leyen envisage des contre-mesures proportionnées.
Elle réaffirme sa volonté de négocier avant le 1er août.
Le Mexique dénonce un traitement injuste et appelle au dialogue.

La France et l’Allemagne prennent position

Emmanuel Macron exprime une vive désapprobation.
Il appelle à défendre fermement les intérêts européens.
La ministre allemande de l’Économie prône une solution pragmatique.
Elle souhaite des négociations ciblées avec Washington.

Trump agite la menace de sanctions supplémentaires

Trump avertit qu’il ripostera à toute mesure de rétorsion.
Il menace d’augmenter encore les droits de douane.
Depuis avril, il a relevé les taux à plusieurs reprises.
Le taux de 50 % pourrait entrer en vigueur dès le 1er août.

Déficit commercial et tensions croissantes

En 2024, le déficit commercial des États-Unis avec l’UE a atteint 236 milliards de dollars.
L’Europe a exporté pour 606 milliards vers les États-Unis cette même année.
Trump exige l’ouverture du marché européen pour envisager des concessions.
Il refuse les barrières douanières et les protections européennes.

Le cas mexicain : entre commerce et sécurité

Trump reproche au Mexique son inaction contre les cartels.
Il salue certains efforts mais les juge insuffisants.
La nouvelle surtaxe ne devrait pas concerner les biens issus de l’accord ACEUM.
La majorité des échanges avec le Mexique relève de cet accord.

Une politique commerciale agressive

Trump prévoit d’imposer des droits allant jusqu’à 50 % à 60 pays.
Le Canada devra faire face à une surtaxe de 35 % dès août.
Les taux varient selon les partenaires, sauf pour Brésil (50 %).
Trump veut ainsi relancer l’industrie américaine et réduire le déficit.
Des économistes alertent sur les risques inflationnistes et le ralentissement mondial.

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