Le ministre déplore le stress chronique des enseignants-chercheurs.
Il explique leur malaise par des charges excessives de travail.
Il espère que les recrutements soulageront le personnel et amélioreront leur bien-être.
Le gouvernement prévoit 500 nouveaux enseignants pour la rentrée prochaine.
Cette mesure vise aussi à renforcer la recherche et la santé du personnel.
Une réforme structurelle en cours
Dr Diouf salue le CAP-ANTESRI dirigé par le Pr Babacar Diop.
Ce comité vise une transformation profonde du système universitaire sénégalais.
Le ministre assure que la plupart des universités finiront l’année académique à temps.
Il salue la stabilité retrouvée dans le secteur de l’enseignement supérieur.
Il y voit une victoire collective contre les pertes financières passées.
Un dialogue franc mais limité
Le ministre promet de rester transparent avec le SAES.
Il reconnaît les contraintes budgétaires de l’État.
Il admet que ces limites freinent la satisfaction totale des revendications syndicales.
Des acquis sociaux salués
David Célestin Faye rappelle les progrès sociaux obtenus.
Il cite les hausses de salaires et primes, ainsi que les indemnités revalorisées.
Il évoque aussi la mensualisation des primes de recherche.
Il mentionne la réversion des allocations de retraite aux ayants droit.
Il souligne la participation du SAES aux projets d’infrastructures universitaires.
Des retards dénoncés
Le SAES critique les délais de livraison de certains blocs pédagogiques.
Il rappelle que des projets débutés en 2015 restent inachevés.
Il dénonce le retard du projet des 100 laboratoires.
Il déplore l’absence d’équipements malgré des cérémonies officielles.
Une revendication pour les enseignants étrangers
Le SAES s’indigne du non-versement des pensions à certains enseignants étrangers.
Ces enseignants avaient pourtant cotisé régulièrement.
Le syndicat exige une régularisation immédiate de leur situation.
