Les États-Unis ont interdit l’entrée de ressortissants venant de 12 pays.
La mesure, appelée « Travel Ban », a pris effet dans la nuit du 8 au 9 juin.
Donald Trump avait signé ce décret présidentiel la semaine dernière.
La Maison Blanche a confirmé sa mise en application immédiate.

Une justification sécuritaire

L’administration américaine invoque des raisons de sécurité nationale.
Elle affirme vouloir protéger le pays contre des menaces terroristes étrangères.
Ce discours s’inscrit dans un contexte tendu sur les questions migratoires.
Washington insiste sur la nécessité de renforcer le contrôle aux frontières.

Une politique migratoire très restrictive

Le gouvernement américain applique une ligne dure contre l’immigration.
Il durcit ses critères d’entrée pour limiter les arrivées jugées à risque.
La liste vise des pays accusés de manquer de dispositifs de vérification fiables.
Les autorités pointent aussi les abus de visas par certains ressortissants.
Elles dénoncent ceux qui restent après expiration de leur autorisation de séjour.

Sept pays africains concernés

Sept pays africains figurent dans la liste noire du décret.
Le Tchad, le Congo-Brazzaville et la Guinée équatoriale sont inclus.
L’Érythrée, la Libye, la Somalie et le Soudan complètent cette liste.
Leur population ne pourra plus entrer légalement sur le sol américain.
Cette mesure suscite de vives critiques en Afrique et au sein de la diaspora.

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