Le FRAPP a réagi à la déclaration du Premier ministre sur les financements étrangers.
Il rejette l’idée d’une société civile dépendante de l’aide extérieure.
Le mouvement affirme n’avoir aucun lien financier avec des bailleurs étrangers.
Il insiste sur un débat plus large que la question du financement.

La société civile comme pilier démocratique

Le FRAPP veut une société civile issue du peuple et libre du pouvoir.
Il dénonce les ONG dépendantes de fonds internationaux pour fonctionner.
Le mouvement demande des structures citoyennes fortes et capables de s’opposer.
Il considère la société civile comme essentielle à toute démocratie digne.

Absence dans le dialogue national

Le FRAPP critique l’exclusion de la société civile du Dialogue national de 2025.
Il reproche à l’État d’imposer une sélection arbitraire des organisations légitimes.
Le mouvement réclame un cadre légal clair et respectueux de l’indépendance.
Il souligne que l’État ne peut décider seul des voix citoyennes à écouter.

Un appel à la révolution citoyenne

Le FRAPP appelle à une société civile combative et populaire.
Il rejette toute tentative de domestication ou de récupération politique.
Le mouvement veut des organisations capables de résister et de proposer.
Il conclut que seule une société civile libre garantit une vraie souveraineté.

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