Le mouvement FRAPP, dirigé par Guy Marius Sagna, s’exprime sur les litiges fonciers et les licenciements abusifs. Il réaffirme son engagement en faveur des travailleurs et des populations victimes d’injustices, appelant à des actions concrètes pour défendre leurs droits.

Une mobilisation contre les injustices sociales Le mouvement Frapp (Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine) se positionne une nouvelle fois en défenseur des causes sociales. Face à la multiplication des litiges fonciers et des vagues de licenciements jugés abusifs, le collectif appelle à une mobilisation forte pour exiger justice et réparation.

Guy Marius Sagna, figure emblématique du mouvement, a pris la parole lors d’une déclaration publique, dénonçant des pratiques qu’il qualifie de « spoliation des terres et d’atteinte aux droits fondamentaux des travailleurs ».

Litiges fonciers : un fléau persistant Selon le FRAPP, de nombreux citoyens sont victimes d’expropriations irrégulières, souvent au profit de promoteurs immobiliers ou d’intérêts privés. Le mouvement réclame plus de transparence dans la gestion des terres et appelle les autorités à mettre un terme aux abus qui fragilisent les populations les plus vulnérables.

« Trop de familles perdent leurs terres sans recours à cause de l’indifférence générale. » L’État doit assumer ses responsabilités et protéger les droits des citoyens », a martelé Guy Marius Sagna.

Des licenciements abusifs dénoncés En plus des questions foncières, FRAPP s’alarme de la situation des travailleurs confrontés à des licenciements qu’il juge illégitimes. Plusieurs entreprises auraient procédé à des ruptures de contrat sans justification valable, laissant des familles dans la précarité.

Le mouvement exige la réintégration des travailleurs licenciés sans cause réelle et demande une meilleure protection du droit du travail au Sénégal.

Appel à l’action et à la solidarité Face à ces multiples crises, FRAPP invite les syndicats, collectifs et citoyens à une mobilisation générale. Le mouvement envisage de renforcer ses actions militantes à travers des manifestations et des démarches juridiques pour soutenir les victimes.

« Nous ne nous tairons pas face à l’injustice. Il est temps que les autorités prennent des mesures fermes pour garantir le respect des droits des travailleurs et des populations dépossédées », a conclu Guy Marius Sagna.

« Les autorités décideront si elles prennent en compte ces revendications, mais une chose est certaine : FRAPP poursuivra son combat pour la justice sociale. »

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