Une colère qui monte
Des retraités et allocataires interpellent l’IPRES et les autorités par une lettre ouverte.
Ils saluent l’introduction de la plateforme numérique pour le pointage à distance.
Mais ils rappellent : « Notre problème n’est pas le clic, mais la dignité ».
Des pensions jugées insuffisantes
Selon eux, des milliers de retraités survivent avec des revenus trop faibles.
Ces montants ne couvrent plus les besoins essentiels face à la flambée des prix.
Ils jugent incompréhensible la fiscalité appliquée à des pensions déjà cotisées.
Santé et pouvoir d’achat en berne
« Nous nous ruinons pour des soins qui devraient être couverts », écrivent-ils.
Ils dénoncent l’absence d’une véritable couverture sociale accessible et équitable.
La stagnation des pensions accentue la précarité face au coût de la vie.
Des revendications claires
Les retraités exigent une hausse immédiate et substantielle des pensions.
Ils réclament aussi la suppression de l’impôt sur les pensions de retraite.
Autre exigence : une couverture médicale complète, sans exclusions arbitraires.
Enfin, ils demandent un dialogue transparent avec leurs représentants.
Une mise en garde ferme
Les retraités refusent que la modernisation numérique serve d’écran de fumée.
Ils dénoncent « assez de demi-mesures, assez de distractions numériques ».
Sans réponses rapides, ils menacent d’« assumer leurs responsabilités » publiquement.