Un cessez-le-feu fragile

L’Iran doute du respect du cessez-le-feu par Israël.
Téhéran redoute une reprise des hostilités.
Le cessez-le-feu est en vigueur depuis le 24 juin, après 12 jours de guerre.

Origine du conflit

Le 13 juin, Israël a lancé des frappes en Iran.
Les attaques ont visé des responsables militaires et scientifiques nucléaires.
Israël a affirmé vouloir empêcher l’Iran d’acquérir l’arme nucléaire.
L’Iran nie toute visée militaire, mais défend son droit au nucléaire civil.

Réaction iranienne

Le général Abdolrahim Moussavi affirme que l’Iran a seulement réagi.
Il menace d’une riposte forte si Israël viole le cessez-le-feu.
L’Iran mène des pourparlers nucléaires avec les États-Unis en parallèle.

Implication américaine

Les États-Unis ont frappé trois sites nucléaires iraniens le 21 juin.
Donald Trump a menacé de nouvelles frappes en cas d’enrichissement à 90 %.

Risques nucléaires

L’AIEA signale un enrichissement iranien à 60 %.
Ce taux dépasse largement la limite de 3,67 % prévue par l’accord de 2015.
Israël, sans l’admettre officiellement, possède 90 ogives nucléaires (SIPRI).

Bilan humain

La guerre a fait 627 morts et 4 900 blessés côté iranien.
Les frappes iraniennes ont tué 28 personnes en Israël.

Civils et prisonniers touchés

Une frappe israélienne a visé la prison d’Evine à Téhéran.
Elle a causé 71 morts, selon les autorités iraniennes.
Des opposants, des binationaux et des étrangers y étaient détenus.

Français détenus

Les Français Cécile Kohler et Jacques Paris se trouvaient à Evine.
Ils n’auraient pas été blessés, selon la diplomatie française.
Paris les considère comme des “otages d’État”.
Israël n’a pas commenté cette frappe.

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