Les travailleurs de la justice déclenchent une grève de 72 heures dès ce lundi 14 juillet.
L’entente SYTJUST–UNTJ a lancé cet appel à la mobilisation jusqu’au mercredi 16 juillet.
Le mouvement vise à faire respecter leurs droits et reconnaître leur rôle essentiel.

Des revendications claires

Ils exigent l’alignement des greffiers dans la hiérarchie A2 du service public.
Selon eux, leur formation et leurs responsabilités justifient ce reclassement.
Ils réclament aussi l’intégration des agents B et C au corps des greffes professionnels.
Ils qualifient cette mesure de justice face à une inégalité persistante.
Ils demandent une réunion immédiate avec le gouvernement pour résoudre leurs revendications.
Ils dénoncent la marginalisation des agents non judiciaires dans l’appareil judiciaire.

Une lutte pour la dignité

Les syndicats affirment que ce combat dépasse une simple revendication ponctuelle.
Ils dénoncent la précarité, les promesses non tenues et le mépris bureaucratique.
Ils appellent à la reconnaissance de tous les travailleurs de la justice.

Aucun service minimum prévu

Ils annoncent l’absence totale de service minimum durant les trois jours de grève.
Cette décision vise à alerter les autorités sur leur rôle indispensable.
Ils rappellent qu’aucune justice ne se rend sans les travailleurs judiciaires.

Un appel à l’unité

Malgré les pressions, ils appellent à la solidarité et à la mobilisation générale.
Ils refusent la peur et prônent la résistance collective pour obtenir justice.
Les greffes resteront fermés les 14, 15 et 16 juillet.
Ils veulent se faire entendre et défendre leur dignité professionnelle.

Une grève pour le respect Les syndicalistes concluent : « Nous défendons notre dignité. Vive les travailleurs de la justice. »

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