Le 16 mars 2024 restera gravé dans les mémoires comme le jour où Kémi SEBAa a franchi une nouvelle étape audacieuse dans son parcours militant. Lors d’une conférence de presse largement médiatisée, il a captivé l’attention mondiale en posant un geste d’une puissante symbolique : la destruction de son propre passeport français.
Cet acte ne se résume pas à une simple démonstration de désapprobation, mais il constitue une déclaration profonde de ses convictions et de son engagement envers l’Afrique. En incinérant son passeport français, SEBA a affirmé haut et fort son désir d’émancipation vis-à-vis de la France, tout en réaffirmant son identité africaine et son dévouement envers le continent. Ce geste emblématique résonne comme un appel à l’éveil et à l’unité parmi les diasporas africaines et les populations d’outre-mer, soulignant l’importance cruciale de la solidarité dans la quête d’autodétermination et la lutte contre toute forme d’ingérence étrangère.
En prononçant les mots forts : « Votre passeport n’est pas un os que vous nous jetez comme si nous étions des chiens. Je suis un homme noir libre. Je suis un Africain libre. Je suis un Béninois libre », SEBA a clairement marqué les esprits, rappelant avec force la nécessité de la dignité et de la liberté pour tous les peuples.
Ce geste marque un tournant significatif dans le parcours de Kémi SEBA et pourrait potentiellement redéfinir les dynamiques entre la France et les nations africaines, particulièrement le Bénin. Les ramifications de son éventuelle incursion en politique dans ce pays sont vastes et pourraient annoncer une ère nouvelle de politique africaine centrée sur l’indépendance et la souveraineté.