À l’approche des législatives anticipées du 17 novembre, la question des casiers judiciaires devient un obstacle pour plusieurs candidats. Ce critère pourrait empêcher certains de se présenter.
Les législatives anticipées du 17 novembre au Sénégal approchent, et la question des casiers judiciaires devient un sujet sensible. La loi exige que les candidats aient un casier judiciaire vierge pour être éligibles. Ceux qui ont été condamnés ou qui font face à des poursuites risquent de voir leur candidature rejetée.
Certains partis politiques craignent que cette règle élimine des candidats influents. Le débat est lancé : pour certains, cette exigence protège l’intégrité des élections, tandis que d’autres y voient un moyen de bloquer des concurrents gênants.
Si cette loi est appliquée strictement, elle pourrait bouleverser le paysage électoral et entraîner des tensions. Le respect de cette règle aura un impact majeur sur l’issue des législatives et sur la scène politique sénégalaise.