L’assassinat ravive les tensions entre groupes armés dans la région de Warshefana.

Un chef de guerre connu à Tripoli

Le chef milicien tué était bien connu à Tripoli.
Il a participé à plusieurs affrontements armés dans la capitale.
Il s’opposait militairement à la Brigade 111, dirigée par Mouammar al-Daoui.
Les deux factions se disputaient le contrôle de Warshefana, ville natale des deux rivaux.

Daoui accusé, mais il nie toute implication

Bien que l’assassinat découle d’un différend familial, Daoui est pointé du doigt.
Il aurait commandité le meurtre, selon plusieurs sources locales.
Mouammar al-Daoui rejette fermement ces accusations.
Les deux hommes s’étaient déjà affrontés à plusieurs reprises dans la région.

Une force mystérieuse entre en scène

Lundi, une force armée non identifiée est entrée dans Warshefana.
Elle a pris position dans les quartiers contrôlés par la Troisième brigade.
Objectif : combler le vide laissé par l’absence du chef assassiné.
Elle viserait aussi à bloquer Daoui et à l’empêcher de contrôler toute la ville.

Des soupçons sur la Force 444

Les habitants soupçonnent la Force 444 d’être derrière cette intervention.
Cette unité est proche du Premier ministre Abdelhamid Dbeibah.
Mais aucune confirmation officielle n’a été donnée à ce jour.

Un nouvel équilibre instable à l’ouest

L’assassinat du milicien s’inscrit dans un contexte de recomposition des forces.
Trois chefs influents ont été tués ces derniers mois à l’ouest du pays.
Selon des analystes, un nouvel équilibre militaire est en cours de formation.

L’insécurité entretenue par les milices

Fait marquant : les milices censées garantir la sécurité en Libye entretiennent l’instabilité.
Elles s’affrontent régulièrement pour le pouvoir, au détriment de la paix civile.

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