Lors de sa grande conférence annuelle en Californie, Meta a dévoilé ses premières lunettes connectées holographiques. Ces lunettes, nommées Orion, intègrent des projections 3D directement dans les verres. Mark Zuckerberg, le patron de Facebook, envisage un avenir où cette technologie remplacerait les smartphones.

Un design innovant

Orion se présente comme un prototype révolutionnaire. Il regroupe toutes les fonctionnalités d’un smartphone dans un format compact. Son design épuré comprend une épaisse monture noire, une caméra, des écouteurs, une assistance IA, et des verres transparents servant d’écran.

Une expérience visuelle révolutionnaire

Mark Zuckerberg promet une expérience unique avec Orion. Il affirme que « cet écran sera différent de tous les autres que vous aurez utilisés ». En effet, il ne s’agit pas d’un écran traditionnel, mais d’un système d’affichage innovant. Les lunettes abritent de minuscules projecteurs intégrés dans les branches qui projettent de la lumière directement dans les verres.

Réalité augmentée et commandes intuitives

Contrairement à la réalité virtuelle, Orion fonctionne grâce à la réalité augmentée. Les utilisateurs peuvent interagir avec l’appareil par la voix ou des gestes de la main. Ce projet est en développement chez Meta depuis environ 10 ans. L’objectif est de créer des lunettes sans fil, légères (moins de 100 grammes), capables de projeter des images nettes et lumineuses tout en permettant des interactions visuelles avec les personnes environnantes.

Vers un avenir prometteur

Zuckerberg évoque un avenir excitant avec Orion. Il déclare que ces lunettes s’approchent du rêve des laboratoires de réalité augmentée : « Créer la prochaine plateforme informatique majeure qui offre une véritable sensation de présence, avec des hologrammes. C’est là où nous allons. »

Prochaines étapes

Cependant, Orion n’est encore qu’un prototype. Avant de lancer sa commercialisation, Meta prévoit d’améliorer la qualité des images, le design des lunettes, et surtout, de réduire les coûts de production. L’objectif est de les rendre accessibles à un large public.


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