Mady Touré, candidat à la présidence de la FSF, s’est exprimé mardi à Ziguinchor.
Il a présenté son programme aux acteurs locaux du football régional.
Il a articulé sa vision autour de sept axes majeurs de réforme.
Il vise un football plus transparent, décentralisé et tourné vers la formation.

Une vision fondée sur la gouvernance et la formation

Mady Touré promet une gouvernance solide et inclusive.
Il place la formation des entraîneurs et des jeunes au cœur de son projet.
Il veut aussi restructurer les petites catégories et soutenir le football féminin.
Il prévoit une refonte des infrastructures et des partenariats durables.
Il compte créer une mutuelle santé et une Fondation pour les anciens joueurs.

Vers une fédération décentralisée et plus efficace

Mady Touré souhaite supprimer le championnat régional.
Il veut décentraliser les licences pour accélérer les procédures administratives.
« Plus besoin d’aller à Dakar pour se faire qualifier », affirme-t-il.
Il défend une fédération proche des clubs et ancrée dans les territoires.

La transparence, un pilier central de sa stratégie

Il promet une gestion rigoureuse et professionnelle des demandes.
Il propose de recruter un directeur chargé du traitement des requêtes.
Il prévoit aussi une réforme des textes dans les 90 premiers jours.
Selon lui, ce changement immédiat marquera une rupture nette.

Miser sur les talents régionaux, notamment en Casamance

Il veut regrouper les meilleurs jeunes du Sud pour les former efficacement.
Il croit au potentiel des régions pour produire des clubs compétitifs.
« Investir dans la formation, c’est bâtir l’avenir », insiste-t-il.

Une ambition assumée : gagner la Coupe du monde

Il rêve de voir le Sénégal soulever la Coupe du monde.
Pour y parvenir, il propose une politique claire et cohérente.
Il appelle à une approche inclusive et structurée du football national.

Un appel au renouveau et à l’unité

Mady Touré se présente comme l’homme du changement.
Il respecte Augustin Senghor, mais estime qu’un nouveau souffle est nécessaire.
« Ma vie, c’est le football », affirme-t-il avec passion.
Il veut inspirer la jeunesse par l’engagement et la rigueur.

Objectif : un football sénégalais autonome et rayonnant

Il défend un football où chaque acteur participe aux décisions.
Il ambitionne un modèle qui s’autofinance et rayonne à l’international.
Il conclut par un appel à l’unité autour de son projet.
Le 2 août 2025 décidera du futur du football sénégalais.

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