Le Magal commémore un acte fort de Cheikh Ahmadou Bamba.
Le 5 septembre 1895, il pria deux Rakkas devant l’autorité coloniale.
Ce geste traduisait sa foi profonde et sa résistance spirituelle face à l’oppression.
L’événement s’est déroulé entre la gouvernance de Saint-Louis et la place Baya Ndar.
Ces lieux portent encore aujourd’hui une mémoire symbolique pour les disciples mourides.

Un encadrement sécuritaire renforcé

Les autorités ont déployé d’importants dispositifs pour assurer le bon déroulement.
La GMI a mobilisé des agents pour gérer l’afflux massif de fidèles.
Des barrières ont été installées afin de canaliser les mouvements des pèlerins.
Un système de laissez-passer a permis de mieux contrôler l’accès aux lieux sensibles.

La ferveur des disciples

Les fidèles continuent d’affluer chaque année pour rendre hommage au Cheikh.
Ils effectuent la ziarra en priant sur le site même de l’événement.
Ces prières rappellent le courage et la dimension spirituelle de l’acte fondateur.
Le Magal demeure ainsi un moment de mémoire et de communion religieuse.

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