Depuis 2013, le Mali subit de plein fouet la violence terroriste.
Des milliers de soldats et de civils ont déjà perdu la vie.
Les attaques continuent malgré les efforts répétés des forces de sécurité.
Nouvelles attaques en septembre 2025
À la mi-septembre 2025, plusieurs attaques ont secoué l’ouest du Mali.
Les groupes armés ont tenté d’imposer un blocus sur des axes stratégiques.
Ces routes relient Bamako à d’autres régions vitales pour l’approvisionnement national.
Les forces armées maliennes ont rapidement réagi pour repousser les assaillants.
Elles ont mis en déroute ces terroristes déterminés à paralyser le pays.
Un message ferme du président Goïta
Le 22 septembre, jour de l’indépendance, Assimi Goïta s’est adressé à la nation.
Le président de la transition a dénoncé « des attaques lâches contre des civils innocents ».
Il a affirmé que ces offensives montrent le désarroi des groupes armés.
Selon lui, la pression des forces de sécurité fragilise considérablement l’ennemi.
Un appel à la vigilance et à l’unité
Goïta a invité les populations à rester vigilantes face à la désinformation ennemie.
Il a demandé de ne pas céder aux manipulations de ces groupes armés.
Le président a rappelé l’importance de l’unité et de la solidarité nationale.
« C’est unis dans l’action que nous garantirons notre souveraineté », a-t-il déclaré.
Une armée renforcée au cœur de la stratégie
Depuis l’arrivée de la junte, l’armée occupe une place centrale dans la gouvernance.
Le but est de disposer d’une armée autonome et pleinement opérationnelle.
Elle doit défendre le territoire et protéger les intérêts fondamentaux du Mali.
Elle doit aussi contribuer à la sécurité régionale et à la stabilité internationale.
