Les enquêteurs poursuivent leurs investigations après le meurtre de l’infirmier-chef de poste de Arafat.
Ils ont interpellé un second suspect dans cette affaire sensible.
Un deuxième suspect arrêté
Les gendarmes ont arrêté le père du premier suspect.
Ils l’ont coincé dans un centre de santé à Kaolack.
La Brigade de recherches y menait discrètement une opération.
Les agents avaient appris que la victime avait blessé un malfaiteur.
Une infiltration bien planifiée
Le premier suspect s’était présenté pour des soins médicaux.
Les gendarmes avaient infiltré le centre de santé à temps.
Ils l’ont interpellé sans incident majeur.
Ce suspect a ensuite été auditionné par les autorités compétentes.
Des déclarations suspectes
Lors de son audition, il a évoqué une bagarre la nuit du 20 mai.
Il a affirmé s’être blessé ce jour-là dans une altercation.
Les enquêteurs ont vérifié ses dires rapidement.
Un témoignage contredit
Les forces de l’ordre ont arrêté son supposé adversaire.
Celui-ci a confirmé une bagarre, mais à une date antérieure.
Cette contradiction a éveillé les soupçons des enquêteurs.
L’interpellation du père
La suite de l’enquête a mené à un second suspect.
Il s’agit du père du premier interpellé.
Les gendarmes ont agi après le bornage d’un téléphone sur les lieux du crime.
Ils ont aussi relevé des incohérences dans ses déclarations.
Une affaire toujours en cours
Les autorités poursuivent leurs investigations.
Elles analysent les preuves pour identifier les véritables coupables.
L’affaire reste sous haute surveillance.
