Le ministre Abdourahmane Diouf veut faire de l’ITNA le cœur du nucléaire sénégalais.
Il l’a affirmé à l’UCAD, lors d’un séminaire sur le nucléaire pacifique.
Le Sénégal vise un rôle central en Afrique francophone dans ce domaine stratégique.
Combler les retards scientifiques
Le ministre évoque un retard dû à un manque de moyens humains et financiers.
Pour y répondre, le gouvernement mise sur les « filières orphelines ».
Il veut former des experts dans les domaines d’avenir et financer des bourses doctorales.
Un appel à la coopération internationale
Le ministre demande un soutien renforcé de la Corée du Sud, déjà partenaire de l’État.
Il sollicite des financements pour l’ITNA : laboratoires, technologies, infrastructures et transfert de savoir.
Changer l’image du nucléaire
Le directeur de l’ITNA veut briser les peurs liées à l’arme nucléaire.
Il insiste sur les usages civils utiles au quotidien dans plusieurs secteurs.
Des usages concrets et pacifiques
L’ITNA peut contrôler les aliments importés comme le riz, le lait ou le blé.
Il peut aussi évaluer les risques liés à la radioactivité des mines.
Un outil majeur en santé et sécurité
Le nucléaire permet la radiothérapie, les scanners et autres soins médicaux avancés.
Il joue aussi un rôle important dans la lutte contre la criminalité nucléaire.
Le débat sur l’énergie nucléaire
Le Sénégal envisage des micro-centrales nucléaires pour diversifier sa production énergétique.
Mais certains experts préfèrent miser sur l’énergie solaire, plus adaptée au contexte local.
