Le Sénégal a signé la Charte fondatrice de l’Organisation internationale de l’eau (OIE).
Il a rejoint la Mauritanie comme membre fondateur de cette nouvelle instance mondiale.
Cette adhésion renforce son rôle diplomatique et son engagement pour une gestion durable de l’eau.
Une délégation engagée au plus haut niveau
Le ministre Cheikh Tidiane Dièye s’est fait représenter par Mabouba Diagne à la cérémonie.
Ce dernier a porté le message du gouvernement, soulignant l’importance de cette initiative.
Il a rappelé le soutien du président Faye et du Premier ministre Sonko à cette cause.
Une vision de solidarité hydrique mondiale
Dr Diagne a insisté sur la nécessité d’une gouvernance équitable de l’eau.
« Il n’y a pas de sécurité hydrique sans équité », a-t-il affirmé devant les partenaires.
Il appelle à une solidarité réelle envers les pays vulnérables, surtout en Afrique.
Des retombées concrètes pour le Sénégal
Ce statut ouvre l’accès à des financements pour les projets hydrauliques nationaux.
Il facilite aussi l’introduction de technologies innovantes dans la gestion des ressources.
Le Sénégal pourra partager son expertise en coopération transfrontalière et durabilité.
Une diplomatie de l’eau assumée
En adhérant, le Sénégal affirme son rôle moteur dans les politiques hydriques africaines.
Il milite pour une gouvernance adaptée aux réalités locales et aux besoins urgents.
Le pays veut des actions concrètes, au service des populations et de l’environnement.
