Des critiques sur la gestion publique

Pape Malick Ndour a critiqué le rapport budgétaire du deuxième trimestre 2025.
Il siège au Secrétariat exécutif de l’APR et salue la ponctualité de la publication.
Cependant, il a dénoncé plusieurs « manquements graves » dans ce document officiel.
Selon lui, ces failles reflètent une opacité inquiétante dans la gestion publique.
Il accuse aussi le régime d’incapacité à assurer une gouvernance crédible.

Une méthodologie appauvrie

L’économiste a dénoncé une méthodologie « volontairement appauvrie ».
Il regrette la suppression d’informations essentielles comme les moins-values ou plus-values de recettes.
Cette omission prive, selon lui, les citoyens d’une vision complète des finances publiques.

Un manque de transparence budgétaire

Pape Malick Ndour a aussi critiqué la ventilation floue des dépenses.
Il estime impossible de savoir ce que consomment réellement les institutions de la République.
Ce manque de clarté alimente, selon lui, la méfiance envers l’exécutif.
Ses propos rejoignent d’autres critiques relevées dans des rapports précédents.

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