Une présentation jugée anticonstitutionnelle
Cheikhou Oumar Sy et Théodore Philippe Monteil critiquent la présentation au Grand Théâtre.
Ils estiment que seul le Parlement peut examiner un plan économique selon la Constitution.
Pour eux, exposer ce projet en dehors de l’Assemblée viole les règles républicaines.
Ils rappellent que le Premier ministre coordonne l’action gouvernementale, sans gouverner seul.
Un appel au respect des procédures
Les anciens députés exigent un débat parlementaire autour du plan de relance économique.
Ils demandent un vote à l’Assemblée pour garantir transparence et responsabilité.
Ils affirment que cette procédure renforce la légitimité démocratique des décisions économiques.
Des inquiétudes sur la gestion financière
Ils dénoncent l’opacité autour des fonds levés par le gouvernement Sonko.
Ils citent 750 milliards de FCFA issus des Eurobonds et 984 milliards de l’UEMOA.
Ils réclament une gestion conforme aux lois et aux principes démocratiques.
La confiance des partenaires en question
Ils jugent impossible une relance sans restaurer la confiance des partenaires.
Ils évoquent notamment le FMI, le secteur privé, les magistrats et la société civile.
Ils insistent sur la nécessité d’un dialogue inclusif et d’une gouvernance exemplaire.
Un appel à la légalité et à la transparence
Ils invitent Sonko à soumettre son plan à l’Assemblée nationale.
Ils exigent une gestion transparente des ressources publiques mobilisées.
Pour eux, l’Assemblée reste l’espace légitime du débat budgétaire et stratégique.
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