Le président Bassirou Diomaye a pris la parole lors d’une allocution solennelle à la Nation.
Il a confirmé la poursuite de la baisse des prix des produits de première nécessité.
Cette mesure vise à soulager durablement les ménages face au coût de la vie élevé.
Le chef de l’État a réaffirmé son engagement pour une meilleure justice sociale.
Il a précisé que ces baisses se poursuivront, si Dieu le veut.
Une stratégie pour alléger le quotidien
Le gouvernement cherche à améliorer le quotidien des Sénégalais par des actions concrètes.
Ces baisses de prix s’inscrivent dans une stratégie globale de soutien aux familles.
Le président veut garantir à chaque citoyen un accès plus équitable aux produits essentiels.
Il relie cette initiative aux préoccupations sanitaires et environnementales du pays.
La lutte contre la vie chère devient donc une priorité nationale.
Une baisse confirmée sur le riz
Le Conseil national de la consommation a récemment validé une mesure forte.
Sous la présidence de Serigne Guèye Diop, le CNC a tranché sur le prix du riz.
Le ministre de l’Industrie et du Commerce a approuvé une réduction de 60 francs CFA.
Cette baisse concerne le kilogramme de riz brisé ordinaire, aliment très consommé au Sénégal.
Le prix passe ainsi de 410 à 350 francs CFA par kilogramme.
Un soutien concret aux ménages
Cette réduction vise directement les familles les plus touchées par la hausse des prix.
Elle représente une avancée significative dans la lutte contre la précarité alimentaire.
Elle renforce aussi la confiance des citoyens envers les engagements présidentiels.
Le gouvernement entend poursuivre ces ajustements sur d’autres produits essentiels.
D’autres décisions pourraient suivre selon l’évolution du marché.
Une couverture médiatique attentive
Le journal Sud Quotidien a relayé cette annonce avec précision et rigueur.
Le média suit de près les politiques économiques du gouvernement sénégalais.
Il met en lumière les efforts pour alléger la pression sur les citoyens.
Les journalistes soulignent l’importance de la transparence dans cette démarche sociale.
Ils rappellent aussi l’importance d’informer tous les acteurs concernés.
