Une lettre ouverte pour alerter les nouvelles autorités
Robert Bourgi adresse une lettre ouverte à Diomaye Faye et Ousmane Sonko.
Il exprime sa profonde inquiétude pour l’avenir du Sénégal.
Il leur rappelle son soutien historique et sa liberté d’opinion.
Bourgi parle sans détour, avec franchise et sans attente personnelle.
Des signes inquiétants pour le Sénégal
Il craint une gouvernance qui ralentit et une économie en difficulté.
Selon lui, les partenaires internationaux commencent à se méfier.
Les institutions financières reculent et les emprunts se multiplient dangereusement.
Il alerte sur l’origine douteuse de certains financements.
Une justice à préserver de toute instrumentalisation
Robert Bourgi dénonce une justice utilisée à des fins politiques.
Il rejette l’idée d’une justice au service d’un parti ou d’un homme.
Il appelle à sanctionner les responsables des violences de 2021.
Bourgi réclame une justice indépendante et crédible.
Des arrestations préoccupantes
Il s’inquiète des arrestations ciblées d’anciens ministres et responsables politiques.
Il cite notamment Sophie Gladima, Mansour Faye et Farba Ngom.
Bourgi questionne la base juridique de ces détentions.
Il rappelle que la justice ne doit pas être un instrument de vengeance.
Un climat économique et diplomatique dégradé
Il déplore les licenciements massifs au Port de Dakar.
Il critique la pression fiscale sur les entreprises locales.
Il signale la méfiance croissante des investisseurs.
Il regrette le recul de la diplomatie sénégalaise sur la scène internationale.
Un appel à la responsabilité historique
Robert Bourgi invite Diomaye Faye et Ousmane Sonko à écouter la voix de la sagesse.
Il les exhorte à ne pas céder aux extrémistes ni aux appels à la revanche.
Pour lui, le Sénégal doit rester uni et apaisé.
Il leur rappelle que l’Histoire les jugera sur leurs actes.
Un message fort pour l’avenir du Sénégal
Bourgi affirme que l’espoir du peuple commence à s’effriter.
Il insiste sur l’urgence d’agir pour la paix et la justice.
Il conclut en soulignant que la division conduit toujours à la ruine.