Kristi Noem dînait avec sa famille au cœur de Washington, dimanche 20 avril 2025.
Pendant le repas, un inconnu masqué s’est discrètement approché de leur table.
Il a profité d’un moment d’inattention pour subtiliser le sac à main de la secrétaire.
Cette scène s’est déroulée dans un restaurant fréquenté, sous les yeux de nombreux clients.
Le voleur est ensuite sorti calmement, sans éveiller les soupçons autour de lui.
Des objets sensibles dérobés
Le sac contenait plusieurs objets personnels et officiels très sensibles.
Parmi eux : un passeport, un permis de conduire, et des cartes de crédit.
Il y avait aussi un badge d’accès au Département de la Sécurité intérieure.
Le sac renfermait également les clés de son appartement et 3 000 dollars en liquide.
La porte-parole du DHS a expliqué cette somme inhabituelle par un contexte familial.
Toute la famille de Kristi Noem était en ville pour les fêtes de Pâques.
L’argent devait financer un dîner, des activités et quelques cadeaux pour ses proches.
Une enquête rapidement lancée
Les services secrets ont été immédiatement informés du vol par l’entourage de la victime.
Ils ont examiné les images de vidéosurveillance du restaurant pour identifier le suspect.
Les images montrent l’homme s’asseyant près de Kristi Noem, l’air parfaitement calme.
Il glisse ensuite le sac sous sa veste et quitte l’établissement sans se presser.
Cet acte, bien que discret, révèle une faille majeure dans la protection rapprochée.
Une alerte pour les experts en sécurité
Jonathan Wackrow, ancien agent des services secrets, a vivement réagi à cette affaire.
Il considère cette intrusion comme une faille grave nécessitant une évaluation urgente.
Selon lui, Kristi Noem reste exposée à des menaces ciblées en raison de son profil public.
L’expert alerte sur les risques que représente la perte de documents aussi sensibles.
Une déclaration prudente de la victime
Kristi Noem a confirmé l’incident dès le lendemain, lors d’un événement officiel.
Elle participait alors à la traditionnelle chasse aux œufs à la Maison Blanche.
« Je ne peux pas encore commenter », a-t-elle déclaré devant les journalistes présents.
Elle a précisé que l’affaire n’était pas encore résolue par les autorités compétentes.
