L’exécution des peines et la gestion carcérale jouent un rôle clé pour les droits fondamentaux.

La direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) s’engage à prioriser ces responsabilités essentielles.

Formations pour une meilleure prise en charge

La DACG a organisé des formations pour magistrats à Ziguinchor et Kolda, visant la sensibilisation.

Ces formations insistent sur l’importance d’aménager les peines pour respecter les droits des condamnés.

Elles visent également à réduire la surpopulation carcérale, un défi pour les établissements pénitentiaires.

Résultats concrets grâce à des mesures adaptées

Ces efforts ont augmenté les placements sous surveillance électronique, passant de 278 à 562 en deux ans.

Le directeur de la DACG, Yakham Lèye, a souligné ces avancées lors d’une conférence nationale.

La conférence, présidée par le ministre de la Justice, s’est centrée sur la surpopulation carcérale.

Visites pour évaluer les conditions de détention

La DACG a régulièrement visité les prisons, notamment à Sébikotane, Kolda et Saint-Louis.

Ces visites permettent de comprendre les conditions de détention et les besoins des détenus.

Planification pour 2025

Pour 2025, la DACG prévoit de renforcer les bureaux d’exécution des peines avec de nouveaux outils.

La standardisation des procédures et l’amplification des aménagements de peine figurent parmi les priorités.

Un plan opérationnel prévoit l’installation de bureaux supplémentaires et le développement d’une application dédiée.

Vers une gestion modernisée et efficace

La DACG finalise des circulaires pour uniformiser les documents de référence à travers le pays.

Des formations pour les juges d’instruction visent à réduire les longues détentions provisoires.

Yakham Lèye a insisté sur l’importance de ces mesures pour bâtir un système plus juste et humain.

L’exécution des peines et la gestion carcérale jouent un rôle clé pour les droits fondamentaux.

La direction des affaires criminelles et des grâces (DACG) s’engage à prioriser ces responsabilités essentielles.

Formations pour une meilleure prise en charge

La DACG a organisé des formations pour magistrats à Ziguinchor et Kolda, visant la sensibilisation.

Ces formations insistent sur l’importance d’aménager les peines pour respecter les droits des condamnés.

Elles visent également à réduire la surpopulation carcérale, un défi pour les établissements pénitentiaires.

Résultats concrets grâce à des mesures adaptées

Ces efforts ont augmenté les placements sous surveillance électronique, passant de 278 à 562 en deux ans.

Le directeur de la DACG, Yakham Lèye, a souligné ces avancées lors d’une conférence nationale.

La conférence, présidée par le ministre de la Justice, s’est centrée sur la surpopulation carcérale.

Visites pour évaluer les conditions de détention

La DACG a régulièrement visité les prisons, notamment à Sébikotane, Kolda et Saint-Louis.

Ces visites permettent de comprendre les conditions de détention et les besoins des détenus.

Planification pour 2025

Pour 2025, la DACG prévoit de renforcer les bureaux d’exécution des peines avec de nouveaux outils.

La standardisation des procédures et l’amplification des aménagements de peine figurent parmi les priorités.

Un plan opérationnel prévoit l’installation de bureaux supplémentaires et le développement d’une application dédiée.

Vers une gestion modernisée et efficace

La DACG finalise des circulaires pour uniformiser les documents de référence à travers le pays.

Des formations pour les juges d’instruction visent à réduire les longues détentions provisoires.

Yakham Lèye a insisté sur l’importance de ces mesures pour bâtir un système plus juste et humain.

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