Mercredi, Donald Trump a déclaré qu’aucun Palestinien ne quittera la bande de Gaza contre son gré. Il a fait cette annonce lors d’une rencontre avec Micheal Martin, dirigeant irlandais, au Bureau ovale.

Un projet israélien contesté

Cette déclaration intervient après l’annonce d’un projet israélien controversé. Bezalel Smotrich, ministre israélien des Finances, a annoncé la création d’une « Autorité de l’émigration ». Cette instance vise à organiser le déplacement des Palestiniens hors de Gaza.

Des soupçons sur un soutien américain

Certains médias affirment que l’administration Trump soutient cette initiative israélienne. Smotrich prétend avoir reçu des assurances de plusieurs responsables américains. Il rapporte qu’ils jugent impensable de laisser « 2 millions de nazis vivre juste de l’autre côté de la clôture ». Cette déclaration fait directement référence aux habitants de Gaza.

Smotrich considère l’expulsion comme une solution viable

Smotrich affirme que cette option, autrefois taboue, est désormais envisagée comme une solution réaliste. Il a déclaré dans le Washington Post que ce projet ne représente pas seulement une possibilité, mais « la seule option viable ».

Une remise en question de l’identité palestinienne

Smotrich nie l’existence du peuple palestinien et justifie ce plan par des considérations sécuritaires. Il assure que Tel-Aviv et Washington étudient des solutions pour réinstaller les Palestiniens déplacés dans d’autres pays.

Une initiative dans la continuité des propositions de Trump

Ce projet rappelle une proposition formulée par Donald Trump en février dernier. L’ancien président américain avait suggéré de prendre le contrôle de Gaza et d’expulser ses habitants. Ce plan avait suscité une indignation internationale et été dénoncé comme une forme de nettoyage ethnique.

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