La société civile considère légitime l’interpellation des membres de l’Alliance pour la Transparence des Élections (ATEL). « Ce dialogue n’est pas de réelles concertations », disent-ils. Le ministère de l’Intérieur doit impliquer les acteurs de manière plus directe. Il est déjà positif que tous aient répondu à l’appel du ministère. Ce dialogue doit mener à des consensus solides et durables.
Les enjeux du processus électoral
Les acteurs connaissent déjà le processus électoral, ce qui ne devrait pas être l’objet des discussions. Le décret convoquant le corps électoral pose problème car il empiète sur des dispositions législatives. « L’État aurait dû poser des questions plus ouvertes, par exemple sur la répartition des sièges ou les commissions », a expliqué le président de l’ONG 3D.
Nécessité d’un consensus
Il estime qu’il n’est pas trop tard pour trouver un consensus sur ces sujets. Le ministre de l’Intérieur a présidé l’ouverture des discussions avec les acteurs politiques pour aborder le processus électoral ce matin.
